HELP ! Ma voiture est un sorbet !

La météo prévoit une nuit glaciale et votre voiture dort dehors ? Suivez ces 10 conseils :

  1. Couvrez le pare-brise d’un carton ou d’un écran protecteur que vous glissez entre les essuie-glaces et le pare-brise ;
  2. Gare aux remèdes de grand-mère ! Pour prévenir la formation de buée sur les vitres, un shampoing ou un détergent vaut mieux qu’une pomme de terre ;
  3. Ne laissez pas chauffer le moteur lorsque vous grattez la glace ;
  4. Evitez de jeter de l’eau (froide ou chaude) sur le pare-brise ;
  5. Les essuie-glaces ne servent pas à gratter la glace ;
  6. Ajoutez de l’antigel et gardez un spray antigel à portée de main ;
  7. En cas de gel, ne serrez pas le frein à main et enclenchez une vitesse ;
  8. Economisez la batterie en dosant l’utilisation de l’airco et des autres éléments gourmands en énergie ;
  9. N’utilisez pas de câbles de démarrage (ils abîment les systèmes électroniques des véhicules modernes) ;
  10. Si les vitres ne sont pas suffisamment dégelées, évitez de démarrer, sous peine de vous trouver en infraction.


En sécurité et bien assuré à vélo !

Le vélo électrique fait désormais partie intégrante de notre quotidien. Les ventes de vélos électriques ont en effet été multipliées par quatorze ces dernières années ! On dit parfois même qu’ils pourraient résoudre le problème des embouteillages. Le revers de la médaille, c’est toutefois le doublement des accidents impliquant des vélos électriques. La prudence est donc de mise ! Vous êtes malgré tout victime d’un accident ? Dans ce cas, mieux vaut être bien assuré !

Les différents types de vélos électriques

Il existe actuellement trois types de vélos électriques. Lors d’un accident de la route avec des dommages causés à des tiers, il est important de connaître le type d’assurance requis pour chaque type spécifique.

  1. Vélo avec assistance électrique d’appoint

Ce vélo disposant uniquement d’une assistance au pédalage a une vitesse maximale de 25 km/h et une puissance maximale de 250 W. L’assistance électrique ne fonctionne que lorsqu’on pédale. Il n’y a pas d’âge minimum requis et il ne faut pas souscrire une assurance spécifique. L’assurance familiale est donc suffisante. Important : celle-ci n’est pas légalement obligatoire !

En résumé : ce vélo est considéré comme un simple vélo. Le cycliste est donc considéré comme un usager faible. Lorsqu’on est impliqué dans un accident avec un véhicule à moteur, on est donc toujours indemnisé pour les dégâts corporels et pour les vêtements abimés, que l’on soit en tort ou non.

2. Vélo motorisé

Ce vélo peut atteindre la vitesse maximale de 25 km/ heure et a une puissance maximale de 1 000 W. Il y a alors deux possibilités :

  • Uniquement une assistance au pédalage. L’âge minimal est dans ce cas de 16 ans. Aucune assurance distincte n’est requise. L’assurance familiale suffit pour couvrir les dommages causés à des tiers.
  • Assistance au pédalage et moteur autonome, le vélo avance donc sans qu’il soit nécessaire de pédaler. Pour ce type de vélo, il faut actuellement contracter une assurance RC auto et être âgé d’au moins 16 ans. Cette assurance RC auto peut également être contractée via l’assurance familiale.

3. Vélo électrique rapide (speed pedelec)

La vitesse maximale de ce vélo est de 45 km/ heure et sa puissance maximale est de 4 000 W. Ici aussi, il y a deux options :

  • S’il n’y a que l’assistance au pédalage : l’assurance familiale suffit.
  • Assistance au pédalage et moteur autonome : une assurance RC auto est obligatoire.

Pour pouvoir rouler avec ce type de vélo, il faut :

  • être âgé de 16 ans au moins ;
  • porter obligatoirement un casque ;
  • être titulaire d’un permis de conduire AM ou B valable ; et
  • avoir une immatriculation;
  • ainsi qu’un certificat de conformité (COC).

Il est important de savoir que la fonction « piéton », qui permet au vélo de rouler à 3-4 km/ heure sans pédalage, n’entraîne pas une requalification en tant que véhicule dont le « but premier est l’assistance au pédalage et l’autonomie ».

Qu’en est-il en cas de vol, de dommages personnels ou de panne ?

Plusieurs compagnies d’assurance offrent une assurance contre le vol, les dommages personnels et les pannes. Elle peut être comparée à une omnium automobile : il y a une franchise, l’usure du vélo est prise en compte et la prime d’assurance est établie en fonction de la valeur du vélo. Nous nous ferons un plaisir de vous aider à trouver la formule d’assurance adéquate !

Roulez prudemment!

Être bien assuré, c’est une chose, mais mieux vaut prévenir que guérir ! C’est pourquoi différents organismes proposent des cours pour rouler en toute sécurité sur un vélo électrique. Cela vaut certainement la peine d’envisager de les suivre. Le vélo électrique est en effet plus lourd et atteint des vitesses bien supérieures à celles d’un vélo classique.

Veillez à garder les conseils ci-dessous en mémoire !

  • N’hésitez pas à poser beaucoup de questions au vendeur concernant les différents types de vélos et testez-les dans une rue calme, peu fréquentée.
  • Portez toujours un casque ! Il n’est pas toujours obligatoire (sauf si vous roulez en speed pedelec), mais il réduit de moitié le risque de traumatisme crânien en cas d’accident.
  • Commencez toujours sans assistance ou en maintenant celle-ci au minimum, et toujours avec une petite vitesse.
  • Portez toujours un gilet fluo et veillez à accroître votre visibilité. Pour les autres usagers, il est souvent difficile d’estimer votre vitesse réelle. Vous ne faites en outre aucun bruit, contrairement à une moto ou un scooter.
  • Adoptez une conduite défensive.
  • Respectez le Code de la route. Les mêmes règles que pour un vélo classique s’appliquent. Si vous conduisez un speed pedelec, les règles sont les mêmes que pour une moto de classe B. Il y a également des panneaux spécifiques pour les speed pedelecs. Ils arborent le dessin d’une moto et la lettre « P ».

Votre courtier, votre meilleure assurance

N’hésitez pas à nous contacter pour toute question !

Source : courtierenassurances.be


Utiliser l'électricité avec parcimonie, cela va de soi !

Rien n’est inépuisable. Grâce à quelques conseils pratiques, réduire la consommation d’électricité est à la portée de tous. C’est d’autant plus intéressant qu’en automne et en hiver, des pics de consommation sont fréquemment observés entre 17h et 20h

Appareils électriques

  • À l’achat d’appareils électriques, optez de préférence pour un modèle à faible consommation d’énergie (classe énergétique de couleur verte).
  • Remplissez complètement votre machine à laver et privilégiez les programmes à 30 ou 40°. Les programmes à 60 ou 90° sont très énergivores et souvent inutiles.
  • Suspendez le linge à sécher plutôt que d’utiliser le sèche-linge. Un sèche-linge est très énergivore !
  • Éteignez les appareils que vous n’utilisez pas plutôt que de les laisser en mode veille. Éventuellement, retirez la prise et éteignez les multiprises.
  • Retirez votre chargeur de GSM de la prise dès que vous ne l’utilisez plus ou que votre appareil est chargé à 100%.

Éclairage

  • Limitez l’éclairage décoratif ;
  • Remplacez vos anciennes lampes par leur variante moins énergivore, par exemple des ampoules économiques et des lampes LED ;
  • Éteignez la lumière chaque fois que vous quittez une pièce.

Cuisine

  • Achetez malin en pensant à adapter le volume de votre frigo ou congélateur à vos besoins. Plus le volume de l’appareil est grand, plus il consomme. Le but est d’éviter de refroidir de l’espace vide.
  • Un frigo ou un congélateur consomme plus d’énergie lorsqu’une couche de givre s’y forme. Si c’est le cas, il est souhaitable de dégivrer vos appareils.
  • Laissez refroidir les aliments avant de les mettre au frigo ou au congélateur.
  • Pensez à couvrir vos casseroles, éteindre les plaques électriques peu avant la fin de la cuisson, choisir des casseroles au diamètre adapté à celui de vos plaques.

Conseil ! Testez la quantité d’énergie que vous pouvez économiser sur www.energivores.be.

Source : AXA


Constat d’accident : 10 conseils pour être efficace

S’il peut être vu comme une démarche administrative fastidieuse, le remplissage d’un constat d’accident doit être fait avec soin. Il permettra à votre assureur d’identifier à qui appartient la responsabilité.

Constat à l’amiable – attention !

Une fois le document signé, il n’est plus possible de le modifier. Votre signature implique votre accord sur tout, y compris sur ce qui figure, pour chaque conducteur, sous «mes observations». Un constat mal rempli pourrait vous rendre injustement responsable de l’accident.

Les bons réflexes :

  1. Ayez toujours 2 ou 3 exemplaires de constat avec vous ; en cas d’accident avec plusieurs véhicules, il faut remplir plusieurs documents ;
  2. Appelez la police s’il y a des blessés ou si la partie adverse semble en état d’ébriété et, même si un procès-verbal est dressé, remplissez un constat ;
  3. Les 2 parties doivent remplir un seul et même constat ; en cas de désaccord, il faut l’indiquer dans « mes observations » ;
  4. Vérifiez que les données complétées par l’autre conducteur sont exactes et basées sur son permis de conduire et sa carte verte ;
  5. Complétez et signez le constat sur place ; tout ce que vous ajouterez plus tard pourrait être contesté ;
  6. Complétez toutes les rubriques ; les données manquantes amènent des imprécisions qui pourraient impacter vos droits ;
  7. Prenez des photos ; elles permettent de clarifier les croquis ;
  8. S’il y a des témoins, indiquez leur nom et leurs coordonnées pour que la partie adverse ne puisse pas les contester ;
  9. Si vous ne parvenez vraiment pas à vous mettre d’accord et qu’une des parties (ou les 2) refuse de signer le constat commun, remplissez chacun un constat ; les compagnies d’assurances essaieront de parvenir à un arrangement mais le traitement du dossier prendra par conséquent plus de temps ;
  10. Transmettez-nous le contrat dans les 8 jours suivants l’accident.

En cas de doute, contactez-nous afin de vous aider à compléter le document.

Source : AXA


Déjouez les mauvais tours des cambrioleurs !

Saviez-vous qu’en Belgique, un cambriolage a lieu toutes les 10 minutes ? Pour mieux vous prémunir contre le vol, nous avons dressé le profil des cambrioleurs : leurs habitudes, leurs techniques et les moyens d’y faire face :

L’effraction : le cambrioleur force une fenêtre ou une porte à l’aide d’un pied de biche, d’un tournevis,…

Notre conseil : installez un verrou supplémentaire à vos portes et fenêtres facilement accessibles. Recouvrez les charnières avec des bandes anti-effractions. Placez des cadenas renforcés à vos abris de jardin, vos coupoles de toits ouvrables,…

L’escalade : le cambrioleur escalade l’habitation via un balcon ou un toit plat et s’introduit via une fenêtre entrouverte.

Notre conseil : fermez et verrouillez vos portes et vos fenêtres en cas d’absence.

 

La ruse : le cambrioleur se fait passer pour un policier, un technicien pour le relevé des compteurs,…

Notre conseil : demandez une preuve de légitimité. Regardez qui sonne à la porte avant d’ouvrir. Ne tombez pas dans le piège du “je suis le neveu de la voisine”.

Le bris de cylindre : le cambrioleur brise le cylindre de la serrure à l’aide d’une pince ou d’un objet lourd.

Notre conseil : installez un cache serrure (rosace) ou un cylindre de sécurité de max. 2 mm d’épaisseur.

Le perçage de serrure : le cambrioleur perce un trou sous la ligne de serrure à l’aide d’une perceuse.

Notre conseil : installez des poignées munies d’une serrure ou des serrures en applique sous les chambranles de vos portes/fenêtres.

La carte bancaire : le cambrioleur ouvre la porte en glissant une carte plastique entre la porte et
son montant.

Notre conseil : verrouillez systématiquement à double tours, même en cas d’absence de courte durée.

Que faire en cas de cambriolage ?

– Prenez contact avec la police.
– Ne touchez à rien pour ne pas contaminer les preuves.
– Listez les objets dérobés et faites-en part à la police.
– Votre portefeuille fait partie des objets volés? Appelez Card Stop au 070 340 340.
– Pensez à bloquer les documents d’identités dérobés en appelant DOC STOP au 0800 2123 2123.
– Envoyez des justificatifs, une description des dommages éventuels à l’habitation et la liste des objets dérobés ainsi qu’une copie du procès-verbal de la police à votre courtier.

Source : AXA


Si week-end rime avec voyage, ces quelques conseils avisés sur vos bagages vous seront bien utiles !

Il s’agit sans doute de l’un des pires cauchemars de tout voyageur ou navetteur… le vol de bagages. Nul ne s’étonnera d’apprendre que le nombre de vols dans les gares, les stations de métro ou dans les aéroports belges a augmenté ces dernières années.

Tout le monde transporte dans ses bagages des objets de valeur tels qu’un smartphone, une tablette, des vêtements, un passeport,… dont le vol risque fort de vous mettre dans une situation délicate voire compliquée. Il est temps d’agir!

  1. Pendant les préparatifs de votre voyage, dressez la liste de tous les objets que vous emportez.
  2. Prenez des photos de vos objets les plus chers tels que l’appareil photo, le smartphone, les bijoux, etc. Les photos vous aideront à identifier vos effets personnels après un vol.
  3. Évitez les bagages anonymes. Veillez dès lors à tout étiqueter. Si vous veniez à perdre vos bagages, ceux-ci seront plus faciles à retrouver.
  4. Il est conseillé de porter tous les objets de valeur le plus près possible du corps. Jamais dans la valise ou dans une pochette extérieure de votre sac ou de votre valise.
  5. Fermez soigneusement chaque sac et portez-les si possible entre votre bras et votre corps, la fermeture tournée vers l’intérieur.
  6. Si vous voyagez en groupe, répartissez de préférence tous les moyens de paiement entre les membres du groupe. Si un voleur attaque, les conséquences seront limitées.
  7. Les voleurs eux-mêmes opèrent souvent à plusieurs, ils détournent l’attention avant de commettre leur méfait. Soyez donc sur vos gardes lorsque quelqu’un vous adresse la parole ou vous bouscule, ou encore en cas d’effervescence soudaine.
  8. Ne laissez jamais vos bagages sans surveillance. N’oubliez pas qu’un autre voyageur pourrait avoir la même valise que vous et l’emporter par mégarde.
  9. Pensez à souscrire une assurance voyage.

Vous êtes malgré tout victime d’un vol ? Il est primordial de faire une déclaration à la police.

Source : AXA.be


Températures estivales riment avec BBQ entre amis ! Nous vous invitons à lire nos quelques conseils de préventions.

Mais avant de lancer les invitations, nous vous invitons à lire nos quelques conseils de préventions !

Une bonne installation :

  • Avant la première utilisation de la saison, nettoyez bien le barbecue et vérifiez les conduits d’alimentation s’il y en a ;
  • Premièrement, éloignez les enfants et les animaux domestiques et ce tout le long de l’utilisation ;
  • Installez le barbecue sur une base stable et dure ;
  • Ne vous placez pas trop près des nappes, tonnelles, parasols, meubles ou tout autre objet/endroit inflammable car un incendie pourrait se causer simplement avec une petite brise projetant des étincelles ;
  • Et pourquoi ne pas garder un extincteur, de l’eau ou du sable à portée de main ?

Le démarrage :

Si vous utilisez un barbecue au feu de bois :

Les moyens d’allumage adéquats sont par exemple, des blocs allume-feu, du gel ou une pâte spécialement conçus à cet effet ; utilisez, de préférence, un charbon de bois aux normes CE.

Une fois le feu allumé, vous pourrez attiser celui-ci avec un éventoir ou un soufflet.

Les autres moyens d’allumage comme l’essence ou le pétrole sont totalement à proscrire !! Ils provoqueraient un jet de flammes et pourrait sérieusement vous blesser ! Evitez également de raviver le feu avec ces combustibles ou de souffler dessus.

Si vous utilisez un barbecue au gaz :

Assurez-vous que toutes les commandes de contrôles soient bien fermées. Une fois cette étape passée, vous pourrez ouvrir le couvercle du barbecue et ouvrir la bouteille de gaz au maximum.

Ensuite, ouvrez lentement une des commandes de contrôle et actionnez l’allumeur intégré.

NB : après l’utilisation, évitez de placer le barbecue près d’une fenêtre ou d’une porte car en cas de fuite, le gaz pourrait s’infiltrer dans votre habitation.

La fête peut commencer !

Le seul et unique préposé au grill prendra les commandes du barbecue et régalera ses convives avec son adresse à la grillade !

Le volontaire :

  • S’habillera d’un tablier en toile mais ne portera surtout pas de tissus synthétiques ;
  • Portera des gants ignifuges ;
  • Ne boira pas d’alcool à proximité du feu, les vapeurs d’alcool pourraient s’enflammer … le mojito devra attendre sur la table ;
  • Surveillera en permanence le barbecue en gardant une distance sécuritaire.

Notez bien que le charbon de bois reste incandescent pendants encore plusieurs heures après la grillade. Il est donc exclu de déplacer un barbecue encore brûlant, il vaut mieux le laisser refroidir complètement voire attendre le lendemain matin.

Bon appétit et bon amusement !


« 60 % des cyberattaques visent des PME »

Avec 95 % de petites entreprises qui font tourner l’économie, la Belgique est le pays par excellence des PME. Pour lutter contre la menace informatique, AXA a lancé une solution comportant 6 couvertures.

Les PME ont une vision erronée des cyberattaques

Souvent, les cyberattaques sont passées sous silence par la PME. C’est ce qu’indique Stijn Muylle, expert en sécurité informatique : « De nombreuses cyberattaques ont pour but de pirater une autre entreprise ou une entreprise plus grande. Les attaques sont en outre automatisées et bloquent le système informatique. Tenus par la peur de perdre leur réputation, les dirigeants d’entreprise paient parfois une certaine somme d’argent, et ce, sans garantie de déblocage ».

Pour redorer la réputation de l’entreprise, la couverture « e-réputation » prévoit une série de services présentés par Marnik Vanhaverbeke, directeur de LAR : « Dans un premier temps, nous aidons l’entreprise par le biais de conseils en communication. Il faut savoir que l’interprétation de la communication via les médias sociaux diffère fortement de celle du monde réel. Sur le long terme, nous essayons d’« éliminer » l’information négative. La supprimer n’est pas possible. Nous gérons les infractions pénales qui affectent la réputation d’une entreprise par des moyens judiciaires ».

Des hackers innovants

En plus des « ransomware » (ou logiciels de demande de rançon) présentés par Stijn Muylle, il existe d’autres formes de cybercriminalité. « Avec la digitalisation, de nombreuses PME ont lancé leur boutique en ligne. Ces entreprises conservent les données de leurs clients, données qui sont précisément ce que recherchent les hackers pour les revendre à prix d’or par la suite ». Telle est l’explication d’Arne Swinnen, un « hacker éthique » qui a apporté son aide à de nombreuses grandes entreprises américaines en repérant les failles de sécurité de leurs systèmes IT. Google, Paypal, Snapchat, Microsoft, Uber, Yahoo et Facebook font notamment partie de ses clients.

Jusqu’à 1.500 cas relevés par mois

Kurt Callewaert, lecteur en « Informatique appliquée » à la Haute école de Flandre Occidentale présente des chiffres concrets : « Chaque mois, 1.000 à 1.500 notifications de cyberattaques contre des PME sont recensées auprès du CERT. Comme pour tout délit, de nombreux cas ne sont pourtant pas relevés. Le nombre de notifications peut en réalité être deux à trois fois plus élevé ». Walter Dierickx d’AXA ajoute qu’entre 2014 et 2015, une hausse de 30 % des attaques a été enregistrée.

Les particuliers ne sont pas les seuls à courir des risques, c’est le cas aussi des dirigeants d’entreprises. Les terminaux des sociétés, laptops, smartphones et autres tablettes sont une mine d’informations confidentielles relatives à l’entreprise ou à ses clients, ils doivent donc être couverts par une protection optimale. AXA mise sur la tranquillité d’esprit dans la vie numérique des particuliers et des professionnels.

Source: Axa.be

Contactez-nous pour une offre personnalisée : 064/54.18.12

Quel est le rôle du courtier dans la ‘cyber protection’ ?

Quelles garanties l’assurance ‘cyber protection’ inclut-elle ?

Assurance cyber protection: que comprend concrètement la garantie ‘e-reputation’ ?

En quoi consiste le job de ‘hacker éthique’ ?

Dans quelle mesure connaît-on la problématique liée à la cybercriminalité dans les PME ?

Petites entreprises et cybercriminalité: conseil d’un expert


Sévère vague de froid annoncée. Préparons-nous !

Les bulletins météo sont clairs, la semaine prochaine, nous pourrions connaître des températures glaciales dépassant les -10°. Il est essentiel de prendre quelques mesures préventives pour éviter ou, du moins, limiter les dégâts liés au froid. Nous redoutons tous ce froid polaire, alors préparons-nous.

Protégez votre habitation

  • Isolez vos canalisations : Videz les tuyaux et fermez les robinets d’arrivée d’eau des canalisations qui se trouvent à l’extérieur. Protégez-les avec un isolant spécifique (laine minérale ou polyéthylène).
  • Aérez toutes les pièces au moins une fois par jour. C’est essentiel, même en hiver, et quelques minutes suffisent.
  • Assurez un chauffage optimal dans toutes les pièces de la maison. Faites-le contrôler par un spécialiste agréé. N’oubliez pas de penser aux pièces plus vulnérables telles que le grenier où les tuyaux ne sont pas protégés. En cas d’absence, mieux vaut ne pas éteindre la chaudière.
  • Pensez au toit et à la cheminée : une tuile cassée peut provoquer un sérieux dégât des eaux. Le ramonage de la cheminée est important pour éviter tout feu de cheminée ou une intoxication au CO.
  • N’oubliez pas le trottoir : sortez brosse, pelle et sac de sel pour déblayer. Un trottoir sans neige ni verglas garanti la sécurité des passants. C’est aussi une obligation !

Protégez votre voiture

  • Vérifiez la batterie : si elle est défectueuse vous connaîtrez des problèmes au démarrage.
  • Mettez des pneus hiver : bien qu’ils ne soient pas obligatoires en Belgique, les pneus hiver sont sculptés différemment et ont plus d’adhérence sur les sols verglacés.
  • Veillez à ce que le réservoir de liquide de refroidissement ne soit pas sous le niveau minimal. Même chose pour le niveau de liquide lave-glace avec antigel.
  • Si vous en avez la possibilité, rentrez la voiture dans un garage. Si elle reste dehors, couvrez le pare-brise et la vitre arrière. Si vous devez gratter vos vitres, prenez le temps de les faire toutes pour garantir une visibilité optimale. Attention : n’utilisez pas d’eau chaude pour dégivrer les vitres.
  • Avant un trajet plus ou moins long, prévoyez une couverture, une veste d’hiver bien chaude, à boire et à manger, une lampe de poche et un smartphone/GSM chargé.

Source: Axa.be


Conducteur principal ou occasionnel : lequel êtes-vous?

Vous possédez ou allez acheter une voiture qui est ou sera conduite par plusieurs personnes. La notion de conducteur principal ou occasionnel vous parle autant que le « boson de Higgs »? Suivez le guide, on vous décrypte tout ça.

Être ou ne pas être conducteur principal, telle est la question

À moins que vous teniez à votre voiture comme à la prunelle de vos yeux, il y a forcément un moment où vous serez amené à la prêter à un proche. Mais qui déclarer et pourquoi ?

  • Le conducteur principal est la personne qui roule le plus souvent et le plus longtemps avec le véhicule. Il ne peut y en avoir qu’un par véhicule et vous devez le déclarer à votre assureur.
  • Le conducteur occasionnel est une personne qui roule parfois avec le véhicule. Il peut y en avoir plusieurs par véhicule et il est recommandé de le(s) déclarer.

Quels sont les avantages à déclarer un conducteur occasionnel ?

On ne va pas se mentir, déclarer un conducteur occasionnel de moins de 25 ans ou âgé entre 25 et 29 ans avec moins d’un an de conduite à son actif peut dans certains cas et auprès de certaines compagnies augmenter légèrement votre prime responsabilité civile. Mais, si ce dernier fait un accident, la franchise supplémentaire de 250€ que vous devriez payer en cas de sinistre en tort et/ou en omnium ne vous sera pas demandée. En d’autres termes, vous aurez une petite augmentation de prime mais serez correctement couvert en cas d’accidents ! Auprès de certaines compagnies, il n’y a pas de différence de prime (la franchise jeune conducteur peut dans ce cas être due).

La 2ème bonne nouvelle, c’est que vous lui permettez d’acquérir de l’expérience en tant que conducteur. S’il ne cause pas d’accident, cette expérience au volant positive – facile à prouver avec un certificat de sinistre – peut faire baisser sa prime lorsqu’il souscrira une assurance à son nom. Voyez-le donc comme un investissement sur le long terme !

Deux exemples…

Devinez qui est qui dans ces exemples:

1/ Votre fille vient de passer le permis. Pour perfectionner sa conduite et impressionner ses copines, elle vous emprunte votre voiture tous les samedis.
Réponse : Votre fille est un conducteur occasionnel car elle emprunte votre voiture de temps à autre.

2/ Vous et votre compagne avez 2 voitures que vous utilisez pour vous rendre au travail. Votre fils, lui, utilise de temps en temps la voiture de votre compagne. Votre compagne trouve un nouveau travail situé à 2 pas de votre domicile. Elle délaisse son véhicule et le lègue à votre fils.
Réponse : Vous et votre compagne –êtes, au départ, conducteurs principaux de vos véhicules respectifs. Votre enfant, lui, est d’abord conducteur occasionnel mais, lorsque votre compagne lui lègue sa voiture, il devient conducteur principal et elle, occasionnel. Vous l’aurez compris, les notions de fréquence et de durée sont cruciales pour définir si la personne se situe dans une catégorie ou dans l’autre.

Bof. Ce n’est pas si important…

Si, c’est même essentiel. Pour vous assurer au mieux, votre assureur doit savoir qui est le conducteur principal de chaque véhicule.

Surtout, ne déclarez pas une personne en tant que conducteur occasionnel s’il est en réalité conducteur principal.

Si vous omettez ou dissimulez cette information et que votre assureur découvre la supercherie, il peut se retourner contre vous et, en cas de sinistre, vous faire payer les frais de la partie adverse. Ne tentez donc pas le diable. Jouez plutôt cartes sur table en déclarant tous les conducteurs de votre véhicule.

Bon, bon. Et je dois faire ça quand ?

Dès que la situation se présente. Si vous souscrivez une nouvelle assurance auto, vous devez mentionner le conducteur principal et éventuellement les occasionnels. Si la situation évolue en cours de contrat, pensez également à nous prévenir.

Source: Axa.be